Seconde partie du voyage. La première partie est ici.
22/01: Fez - Midelt – Erfoud, 8h-422km
7:30 dans le bus, c'est tôt! Premier stop pipi à Ifrane. Ça saisie en sortant du bus, la pelouse est encore gelée! Il fait -1 Celsius à 8:50. Si Fez est à 405m d'altitude, Ifrane est à 1 660m. Nous allons nous rendre à un col à 2 000m environ avant un plateau et ensuite jusqu’à 2 200 dans le Haut Atlas avant de reprendre le descendant vers Erfoud. Mais c'est aussi une journée de petits problèmes gastriques pour Val. Elle se doute qu'elle a peut-être un peu abusé des dates qui étaient au buffet la veille et le matin... Elle s'était mise au défi de manger le calendrier au complet...!
Elle garde tout de même un bon contrôle malgré tout. Mais elle travaillé fort et eu quelques sueurs...! Mettons que lors des stops essentiellement pour prendre des photos, elle reste bien assise. Mais s'il y a des toilettes, ben, c'est ça... Quand même un mal pour un bien que ça tombe sur la journée où on sera assis en majorité!
Les paysages changent selon que nous sommes sur la montagne ou les plateaux. On y voit de grands cèdres mais aussi des habitations de familles Nomades. Ils se déplacent au fil des saisons pour faire paître leur troupeau. C'est aussi dans les parties boisées de grands cèdres qu'il aurait été possible de voir des singes. Le macaque de barbarie. En fait, j'ai réussi à en voir un. Mais à part le guide en avant du bus et peut-être 1 ou 2 autres personnes, on sera les seuls à l'avoir vu! Il s'approchait de gens arrêtés sur le bord de la route. Je croyais que c'était un gros chien et j'ai à peine eu le temps de réaliser ce que c'était en réalité!
C'est aussi quand même surprenant que, malgré le peu de population dans cette région, lorsque le bus nous laisse descendre pour se détendre ou prendre des photos, aussitôt, il sort deux ou trois locaux avec des foulards ou des plats pour tajine à vendre qui sortent du buisson! On verra de la neige au sol un peu mais vraiment très peu. La semaine avant, il y en avait près de 30 centimètres et le guide nous a envoyé des photos la semaine après notre passage et il y en avait encore une bonne vingtaine.
C'est vers 16h que nous arrivons finalement à l'hôtel. Ça s'est quand même bien passé. Mais la journée n'est pas finie. On a décidé que ce serait la sortie en dromadaire dans le désert et non pas d'y passer la nuit dans une tente que nous allions faire. Et c'est ce soir que ça se passe! Donc, en arrivant à l'hôtel, on a déjà un 4x4 qui nous attends pour nous amener dans les dunes du désert du Sahara! On dépose rapidement les valises et bingo dans le Landcruiser qui se met en route aussitôt!
Les dunes se trouvent à environ 40 minutes de route. On se rend compte que si ce n'était de cette sortie, nous n'aurions même pas vu "de visu" ces dunes du désert! Le sympathique chauffeur-guide fait un petit stop pour nous permettre de voir de loin l'ensemble des dunes devant nous. Impressionnant.
Faut savoir que le Sahara, s'il était un pays en soit, dans toute sa superficie, ce serait le 5ième plus grand pays au monde! Le Maroc en a seulement la pointe nord-est. Il n'est pas nécessairement fait de dunes de sable à la grandeur mais est en grande partie très aride. C'est un désert après toute! La petite partie où on se trouve est une espèce d’îlot de sable de 10km par 7km. Quand même assez grand pour se croire dans le désert, loin de tout. Notre chauffeur nous laisse auprès de 3 chameliers qu'on a presque l'impression de déranger...
Le départ sera assez rapide disons. Pas trop eu le temps d'échanger de politesses avec les trois lascars que Valérie se fait diriger vers le dromadaire de droite pis moi celui de gauche. Les deux sont attachés l'un à l'autre et on se ramasses à cheval sur la bosse et les couvertures qui servent de selles, théoriquement en se tenant aux poignées de métal devant nous. Et on dirait bien que c'est le dromadaire qui décide qu'on est assez bien installé pour se lever! Je tenais mon téléphone dans une main, pour essayer de filmer Valérie (car elle disait que si elle plantait, fallait pas que je sois le seul à rire...), et ma bouteille d'eau dans l'autre lorsque mon bétail se lève! Pis quand ça se lève, il se contre-fiche pas mal d'avoir quelqu'un sur le dos ou de savoir s'il se tient ou non! Faque que la bouteille a pris le bord pis j'ai accroché le guidon! Car le dromadaire commence par se lever le cul avec les pattes d'en arrière. Donc, toi, le passager, t'as comme tendance à prendre la direction du cou de l'animal. Juste au moment où tu penses que t'arriveras pas à tenir et que tu envisages les possibilités, se sont les pattes avant qui se déplient! Tu repars aussi raide vers l'arrière! Wow, les présentations sont faite!!
La bouteille récupérée, on se met en route vers les dunes, encore tout éberlués! L'idée est d'assister au coucher de soleil sur les dunes. Mais c'est loin de partir au galop. Premièrement, le chamelier est à la marche en avant de nous et tient ma bête par une corde et la bête de Valérie n'a pas trop le choix de suivre. On a dû marcher environ 15 ou 20 minutes. En arrivant aux pieds d'une plus grande dune, il nous fait descendre. Le processus est le même mais à l'envers du départ... En d'autres mots, faut se tenir encore en masse! Il nous laisse là, en nous indiquant vers où aller. Il dit qu'il va revenir dans 30 minutes. Il y a une couple d'autres personnes aux alentours. On profite de notre temps pour marcher dans le sable et prendre le décor en mémoire. Un peu surréel. D'où on est, on voit notre point de départ ainsi qu'un des camps où il est possible de passer la nuit. Mais sinon, dans les autres directions, c'est du sable à perte de vue. Et vers l'ouest, le soleil qui baisse. Notre chamelier nous rejoint et nous dit qu'il attends notre go pour retourner. On confirme qu'on est là pour profiter du coucher du soleil et tout est OK avec lui. On placote un peu, parle de sa petite famille, de la nôtre et de notre pays de neige. Il nous fera même une petite séance de photos avant et au moment où le soleil touche le sable.
On ne sera pas obligé de marcher jusqu'à l'hôtel, notre chauffeur nous attends! On arrivera à temps pour finir de souper avec les amis de notre groupe. On dirait qu'on a vécu 2 journées en une seule encore!
Nous avions choisi la sortie à dromadaire versus la nuit dans le désert car nous avions un peu peur d'avoir froid dans une tente. Mais finalement, pas certain qu'on aurait eu plus froid que dans la chambre! Le chauffage ne fournissait pas. Mais avec la journée qu'on a eu, on a bien dormi pareil!
23/01: Erfoud - Gorges of Todgha - Kalaat M'Gouna - Ouarzazate, 6h-340km
Au moment de quitter l'hôtel, nos amis J-F et Joanne ne sont pas revenus encore de leur nuit dans le désert. Il est donc prévu que le bus nous mène à une boutique de fossiles. Finalement, ils nous attendent dans le parking de la place de fossiles! La région où on se trouve est effectivement très riche en fossiles de toutes sortes, comme des trilobites et orthoceras. Ils sont extraits de la roche ou tranchés en grande plaque pour faire des tables (ce serait beau dans la verrière, hein Odile?).
On roule donc dans des sections tout de même assez arides. Ils sont toujours heureux de voir de la neige sur les sommets au loin, ce qui veut dire de l'eau dans leurs cours d'eau éventuellement. On voit des oasis où poussent des palmiers mais sinon, c'est très "terre cuite" partout. Et les vendeurs sortent toujours de partout lorsque le bus s'arrête!
Le secteur des gorges du Todgha est assez impressionnant de par ses falaises le long de la route et de la rivière. Ils comparent ça un peu au Grand Canyon. Probablement parce qu'ils ne sont jamais allé au Grand Canyon... Mais c'est beau quand même!
La route se poursuit vers la vallée des roses. On peut voir de très grands champs de rosiers. Bien évidement, ce n'est plus la saison de ça non plus mais ça doit être impressionnant lorsque tout est en fleur. Cette région produit et exporte l'eau de rose et plein de produits à base de roses partout dans le monde.
On arrive enfin à Ouarzazate. Cette ville est reconnue comme un mini Hollywood marocains, avec plusieurs studios de tournage. C'est aussi la région de la centrale solaire Noor 3.
Le décor de l’hôtel est vraiment typique et riche. Une terrasse avec piscine et une immense volière pleine de perruches!
24/01: Ouarzazate - Ait Ben Haddou – Marrakesh, 5h-200km
On débute la journée avec la visite de la Kasbah de Taouirt. C'était la résidence du Pacha Glaoui, Lord of the Atlas region. On va se le dire, d'une kasbah à l'autre, on va avoir fait le tour. Mais ici, c'est toujours la couleur "terre cuite" qui domine. Il y a quelques travaux vu que c'est un site qui a subit des dégâts lors du tremblement de terre de 2023. On voit même des briques entrain de sécher. Il y a aussi plusieurs nids de cigognes encore ici.
Pour faire un peu de changement, nous allons ensuite aller visiter... une kasbah! Celle de Ait Ben Haddou cette fois. Tout de même classée par l'Unesco comme héritage mondial et considérée comme l'une des plus belles du pays. Construite à flanc de colline, avec une rivière aux pieds. Encore un site ayant servi dans plusieurs films. Comme Games of Thrones ici. Nous avons déambuler dans les petites rues et boutique encore. Comme c'est une colline, il avant un sentier qui se rendait en haut, pour admirer la vue. Mon genou n'était pas d'accord d'essayer les je-ne-sais-combien de marches, toutes de hauteur et profondeur différentes! Monter aurait probablement été pas si mal mais je n'envisageais pas tellement la descente...
La route de l'après-midi nous fera passer un col des Hautes Atlas (2 260m) pour se rendre à Marrakesh. Une belle route sinueuse. Le chauffeur fait encore une superbe job pour naviguer à travers les plus lents! Dont 1 cycliste. Il descendait mais il avait bien dû monter un moment donné!
L'arrivée à l'hôtel se passe un peu moyen. Nous avions demandé à Ibrahim de s'assurer que notre chambre ne soit pas côté rue cette fois, surtout qu'on est ici pour 3 nuits. Mais il a pas mal oublié on dirait... On négocie donc pour changer. On nous trouve une autre chambre côté cour intérieur. On va donc la voir avant d'apporter les bagages. Cependant, c'est le secteur non rénové et ça sent pas vraiment le frais. On retourne au desk et finalement, on devra attendre à demain avant de changer pour être côté intérieur du côté rafraîchi. Nous entendrons donc les scooters et les chiens errants japper une partie de la nuit pour une dernière fois.
25/01: Marrakesh
On laissera donc nos valises au desk le matin pour qu'elles soient portées à notre prochaine chambre lorsqu'elle sera prête dans la journée.
Sinon, ce sera notre dernière séance de visite guidée avec Ibrahim. Nous aurons le transport en bus jusqu'au centre-ville de Marrakesh pour une tournée guidée pour l'avant-midi. Nous serons ensuite en mode libre pour le reste de la journée et la journée suivante.
On débute au minaret de Koutoubia, terminé de construire en 1195. C'est pas le petit tremblement de terre de 2023 qui va lui faire peur on dirait!! Et il y a les fameux palmiers qui donnent le 5G cellulaire! Tout de même une bonne idée de camouflage!
Il sera le dernier à y résider, avec ses quatre femmes officielles, son harem de 24 concubines, et leurs nombreux enfants. Le palais est baptisé du nom de sa maîtresse favorite, la Bāhiya «la belle, la brillante». Le vizir a disparu en 1900, on ne sait trop pourquoi. Relisez le nombre de femmes avec qui il vivait et je pense qu'on a la réponse... Mais après le pillage et les années où il a été occupé par les français, le site est maintenant devenu un musée qui met en valeur toutes ses boiseries, jardins et mosaïques.
On termine ça ensuite par la visite d'un herboriste qui nous explique les différentes vertus de toute sorte d'herbes et épices comme le safran ou l'huile d'argan.
Ibrahim nous donnera tout de même quelques derniers conseils d'usage avant de nous laisser en pâture au locaux! Sans blague, il nous suggère par exemple de ne pas regarder de trop près les charmeurs de serpents car tu va te ramasser vite faite avec un reptile autour du coup, moyennant quelques dirhams pour le faire enlever! Même chose avec les "dompteurs" de macaques. On se fait dire que ces animaux ne sont pas les mieux traités, on s'en doutait un peu, et donc la suggestion est de ne pas les encourager trop trop. Et sinon, de garder notre sac bien fermé! Au final, oui c'est agressant. Mais plus par la quantité de gens, et la proximité dans certains cas, qu’autre chose. C'est leur gagne-pain de vendre des cossins donc c'est normal qu'ils insistent un peu. Mais on savait dans quoi on mettait les pieds! On va prendre le temps de manger une bouchée sur une terrasse avant de se lancer dans le souk. Un des bistrots que Valérie avait noté suite à une lecture, la Café de France, qui donne sur la place.
26/01: Marrakesh encore!
Journée libre ne veut pas dire journée de repos!
Après le petit déjeuner, on décide avec les amis de se rendre au jardin Majorelle et au musée Yves St-Laurent. Oui, à Marrakech pas à Paris. YSL a demeuré longtemps au Maroc avec son conjoint, ce qui explique la présence d'un musée ici. Mais on y reviendra après l'histoire du jardin.
Le jardin Majorelle est un espèce de jardin botanique et a été construit par un artiste français, Jacques Majorelle, en 1931. C'est pas mal ce que je pourrai en dire parce qu'on s'est pété le nez sur la porte! Il aurait fallu acheter les billets en ligne d'avance et une fois rendu là, on a bien essayé mais tout ce qui restait était pour un accès vers 17h!
On s'est donc rendus au musée YSL juste à côté. Perso, je n'avais pas tellement d'intérêt mais entre ça et visiter une autre kasbah, let's go!
On a droit à deux petits films qui, pour ma part, m'éclairent un peu plus sur son œuvre. Ce sera donc intéressant de voir ses créations de visu tantôt. On quitte le petit auditorium après les films et on se dirige vers la salle d'exposition. Ben ciboire, la salle est fermée temporairement pour réorganisation! On tourne un peu en rond, visite une autre petite salle qui montre une maquette du jardin Majorelle, (toujours ben ça...) mais on essaye surtout de s'informer s'il n'y pas une couple de robes quelques part et pourquoi on nous dit pas que la salle d'expo est fermée lorsqu'on entre!? Le responsable fini par nous dire de voir avec la personne responsable du service client près du jardin Majorelle. Le but étant de se négocier une entrée au jardin à titre de compensation. Johanne a bien l'intention d'avoir gain de cause! Tant qu'à être là, on passe quand même par la boutique et le toilettes avant de partir!
Ce sera finalement peine perdue pour négocier quoi que ce soit. Car ils se défendent que le site web où on a acheté les billets indique clairement que l'expo permanente est fermée jusqu'au 31 janvier. En vérifiant, c'est bien vrai. C'est juste que sur les %?&$ d'écrans de téléphones, c'est pas trop évident de voir les petits encadrés qui le disent...!
Avec tout ça, il est quand même rendu 14h. Avec les amis, on décident de partir chacun de notre bord et de se retrouver plus tard. On va y aller un peu au hasard, vers un coin que nous pensions être une autre plus petit place avec des vendeurs de cossins. Ben non, c'est juste une gare de bus et de taxis!! Beau travail... On poursuite tout de même et on arrive pour vrai à un autre quartier de marchands. Mais on vise plus une clientèle locale ici que touristique. Mais même si on voit moins de visiteurs, on ne se sent pas plus "étranger" pour autant. On déambule mollo, sans trop de but mais quand même en regardant la carte pareil en prévision de la marche du retour. On croise même Joanne et Jean-François par hasard! Faut le faire quand même sachant que nous n'avions pas pris la même direction lorsqu'on s'est laissé plus tôt!
Quelques 18 000 pas plus tard, on revient à l'hôtel vers 16:30. On aura le temps d'aller s'asseoir près de la piscine, même si le soleil ne se rend plus direct dans la cour intérieure. C'est juste plus tard qu'on aura l'idée d'aller voir s'il y a une terrasse sur le toit! Hé oui! Il aurait fait plus chaud que sur le bord de la piscine à 16:30 mais là, le soleil se couche!
27/01: Marrakesh - Casablanca – Canada (via Lisbonne)
Ce sera une longue journée. À défaut du jardin Marojelle, Joanne aura quand même réussi à obtenir que le buffet ouvre à 5:00! C'était plus simple pour eux de faire ça que de prévoir faire des boîtes à lunch pour tout le monde qui partait à 5:30.
On a environ 3h de route à faire vers Casablanca. Et ça ira très rondement et on sera bien en avance pour le passage au comptoir d'Air Portugal.On va mettre notre valise en soute cette fois pour s'éviter de la trimballer lors de l'escale à Lisbonne. Un peu de délai avant le décollage à cause de forts vents à Lisbonne mais le premier segment sera sans histoire. Nous sommes plusieurs du groupe sur ce vol. C'est là que d'autres vont avoir d'autres connexions que vers Montréal.
Rendus à Lisbonne on aura encore un bon 4h d'attente. Val aura une petite déception par contre en passant la sécurité. À Casablanca, une fois la sécurité passée, elle avait acheté quelques trucs dans une boutique, question de passer un peu de dirhams qui nous restent. Mais on a pas réalisé que nous repasserions la sécurité à Lisbonne et elle avait acheté une bouteille de savon noir de plus de 100ml... Si ça avait été du vin ou de la bière, je l'aurais bien bu, juste pour ne pas leur laisser! Mais là, que veux-tu?
On fini enfin par décoller vers Montréal. Vol de près de 8 heures. Faut croire qu'on a le vent dans la face.
Arrivés sans encombre vers 20h30, récupération des bagages, aurevoirs faits à nos nouveaux amis et Louis est fidèle au poste, dans sa grande générosité, de venir nous chercher. Julien serait bien venu mais il avait une sortie de prévue ce soir là avec sa gang du travail. Il avait toutefois pris le temps de venir porter notre auto chez Louis dans la journée, après en avoir pris bien soin toute la semaine. Ce n'est pas toujours facile de stationner une voiture, même dans son coin. Mais il a trouvé le tour d'avoir notre véhicule sous le nez, sous son balcon, pas mal toute la semaine. C'est certain que ce sont des frais de moins mais aussi un peu plus d'assurance de retrouver un véhicule en bon état après 10-12 jours! Et il est donc venu le porter dans le stationnement de la ville près de chez Louis en prévision de notre retour. Sans en être totalement certain, les chances étaient bonnes qu'on couche à Mtl au lieu de prendre la route vers Québec le soir même. Il était tout comptes faits au moins 3 h du matin dans notre petite tête! Et nous avions surtout prévu la journée de demain en congé.
28/01 Home sweet home
On a fait un petit détour par chez Julien avant de prendre la route. Contents de retrouver la maison en bon état. M. Gomes a dû venir déneiger à quelques reprises et c'était impeccable à notre arrivée.
Le prochain dossier de la semaine sera le remplacement du système de chauffage/clim (thermopompe et fournaise) jeudi! C'est bien le coût de 2 ou 3 voyages mais c'est certain qu'on repartira pareil (la croisière de 2026 est déjà bookée en fait ;-) )
J'avais hâte de lire la suite... toujours agréable de te lire, Pierre. Bonjour à Valérie et à bientôt!
RépondreSupprimerMerci pour les bons mots Paul. Salutations à Odile aussi!!
SupprimerTu parles, j’ignorais que vous étiez sur ce genre de voyage et de découvertes.
RépondreSupprimerDisons que ce n’est pas ce que j’aurais
imaginé, pas pour moi, merci.
Je vous trouve courageux.
Merci pour le texte, c’est comme si on
était avec vous-deux, je l’ai dévorée!
MERCI.
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