2025-02-23

Maroc 2025, partie 1, du 17 au 21 janvier

17 au 27 janvier au Maroc. Valérie et Pierre.

En résumé, ce fût un superbe voyage!

Tant pour la formule organisée que par les gens rencontrés, les paysages inattendus, la diversité des découvertes, c'est un succès sur toute la ligne.

C'est en cherchant des aubaines pour un voyage au soleil que Valérie a trouvé l'offre à destination du Maroc. Ce n'était pas nécessairement une destination que nous avions sur la "bucket list" mais nous n'avons pas hésité longtemps à réserver. Nous savions par contre dès le départ que le guide serait anglophone. Cependant, le français étant bien présent au Maroc, il a été assez facile de s'entretenir avec tout le monde. Val a fait beaucoup de lecture d'avance et nous a rédigé un bon résumé des villes à l'itinéraire.

Au total, ce fût 1 700 km et environ 35 heures juste de route. Dans un autobus très confortable et en excellent état. Il y avait le chauffeur et un guide. Lors de certaines visites, un guide invité prenait la relève un petit bout. Mais Ibrahim était excellent et très en maitrise de son sujet. Toujours de l'info pertinente pendant les visites et abordait différents sujets pendant les transferts en bus.



Nous partions de Montréal avec Air Portugal. Avec escale à Lisbonne, le temps de goûter aux petites tartelettes du Dr Arruda, pastei de nata, et ensuite vers Casablanca. Même chose au retour. Départ le vendredi 17 janvier.

Nous sommes partis assez tôt vers Montréal le vendredi avant-midi. Même si le vol était à 21:45 le soir. Cela nous a permis de passer une bonne partie de l'après-midi avec Julien. Il travaillait mais nous sommes arrivé au début de son heure de lunch. Il a pu nous faire visiter un plateau de Sorcières où le tournage était terminé avant qu'on traverse en face à la petite brasserie pour manger. En plus, il gardait notre auto pour le temps de notre voyage. Sans trop savoir la météo, il s'attendait de gérer les déplacements d'un côté et l'autre de la rue! une belle générosité ça, surtout à Montréal! Et lors de la reprise en PM, il n'était pas requis d'être sur place tout de suite, ce qui nous a donné encore quelques temps avec lui, jusqu'à ce que l'on prenne un Uber vers l'aéroport.

17/01: Canada – nuit en vol, escale Lisbonne (4,5hres), arrivée à Casablanca le 18/01 fin PM.

Nous ferons la connaissance des deux seuls autres couples francophones du groupe sur le vol Lisbonne-Casablanca. Odile et Paul ainsi que Joanne et Jean-François. Les 4 se connaissent déjà et viennent de Gatineau. Passage à un comptoir de change pour obtenir des Dirhams ($) et transfert vers l'hôtel après que le groupe Exoticca soit regroupé avec notre guide Ibrahim. La formule du voyage inclue les soupers et les petits déjeuners dans les hôtels où l'on couchent. Pour ce premier soir, nous sommes à temps pour profiter du buffet. Malgré la fatigue du voyagement, on sort quand même marcher pour quelques coins de rues avant de rentrer.

19/01: Casablanca - Rabat - Asilah – Tanger. 5h-340km de déplacement

Le départ du bus est prévu pour 8:30 ce premier matin. On descend donc nos valises lorsque nous sommes prêts à aller manger. Petit déjeuner bien garni, le meilleur du voyage dixit Valérie. Il n'y aura pas beaucoup de fruits le matin dans l'ensemble mais il y a toujours de la salade et des olives! Premier stop prévu, visite de la grande Mosquée de Casablanca, construite en partie au dessus de l'eau et terminée en 7 ans en 1993, à la demande du roi de l'époque, Hassan II. Et il faut se déchausser en entrant. Pour bien faire, Val était pied nu dans ses chaussures et ce n'était pas encore très chaud... Heureusement, il y a un tapis partout au lieu de devoir marcher sur le granit du plancher froid! La mosquée peut accueillir 25 000 fidèles à l'intérieur. 20 000 hommes dans les sections au niveau plancher et 2 balustrades de 2 500 personnes chacune pour accueillir les femmes. Avec l'esplanade extérieure, jusqu'à 105 000 personnes au total. Assez impressionnant comme monument. Avec un toit qui s'ouvre en plus. Il semble que c'est bien pratique lorsque c'est plein à capacité et qu'il fait chaud...! La salle des ablutions au sous-sol est aussi bien impressionnante avec ses 41 bassins/fontaines permettant aux fidèles de pratiquer le rite de lavage des mains, bras, visage et pieds qui précède la prière.



 





On remonte ensuite à bord du bus pour aller à la place Mohammed V. Mais avant, le chauffeur nous fait faire une détour par le quartier de la Corniche, en bord de mer, pour passer à travers les maisons de luxes très impressionnantes.

Sinon, pour ce qui du passage par la place Mohammed V, honnêtement, je ne sais pas trop c'était quoi l'idée de cet arrêt. À part de voir des millions de pigeons qui chient partout où ils se posent et 2 ou 3 gringos en habits de porteurs d'eau qui demandent des dirhams pour une photo, ce n'était pas l'arrêt le plus riche en culture... Et pour des gars qui veulent de l'argent pour des photos, on dirait pas qu'ils ont l'habitude des téléphones!




Direction ensuite de Rabat en remontant la côte Atlantique. Nous visiterons la kasbah des Oudayas. Une kasbah est comme une petite ville fortifiée tout prêt de la ville principale. Comme une citadelle militaire mais qui pouvait abriter aussi des habitants en cas d'attaque ennemie. C'est de là que Valérie a trouvé son spot pour être enterrée! De un, le cimetière donne sur la mer! De deux, on a appris qu'ils sont enterrés sur le côté! C'est son rêve!


 



On se déplace ensuite vers le mausolée de Mohammed V. Juste pour situer, le roi actuel est Mohammed VI (6) depuis 1999. Il a succédé à son père, Hassan II (qui a fait construire la mosquée de Casablanca et le mausolée de Rabat, pour son père, Mohammed V (5)). Dans le mausolée, s'y trouve bien sûr Mohammed V mais aussi Hassan II qui l'a rejoint à sa mort et le frère de l'un des deux, je sais pu! Il y a 4 gardiens à l'extérieur et au moins 4 autres dans chaque coin intérieur. Et je ne sais pas si c'est un prérequis d'être grand mais l'un des gardes devait faire 7 pieds de haut! Juste à côté du mausolée, il y a les vestiges d'un début de construction d'une mosquée qui n'a jamais été complétée.



 

Et c'est la première place où on a entendu l'appel à la prière en direct live.


C'est dans ce coin là qu'on arrête pour le lunch, sur le bord d'un cour d'eau (ils disent un "Oued") qui se déverse dans l'Atlantique.



On continue ensuite, toujours vers le nord, vers Asilah. Le long de la route, on voit des plantations de bananiers. Mais la plantation au complet est recouverte d'un genre de bâche. Ça ressemble à de grands abris tempos! Mais ça semble être biodégradable ce matériel, comme si une fois biodégradé, les bananes sont prêtes!

On ne sera pas resté trop longtemps assis là (Asilah, ha!). On sera toutefois bien synchro avec le coucher de soleil et le bus nous dépose quelques minutes en bord de route pour profiter de notre premier coucher de soleil sur la mer du Maroc. Les vagues sont immenses, de toute beauté.



On poursuit la route pour finalement arriver à Tanger, la grande ville la plus au nord du Maroc. En face, on peut apercevoir la pointe de l'Espagne. Petit refresh à la chambre avant le souper. Même si nous n'avons pas marché les 340km, on les a quand même dans... le dos!


20/01: Tanger - Chefchaouen - Ouazzane – Fès (2 nuits), 6h-330km

Rendez-vous toujours à 8:30 au bus pour partir la journée. On a le temps de profiter du lever de soleil. Ce sera une belle journée!



Mais après avoir mis les valises en soute à bagages, on part finalement à pieds! Tanger est souvent représentée dans des films mais, comme dans le cas du dernier Indiana Jones, les tournages ont été faits à Fès, qu'on verra demain. Mais James Bond y est venu pour vrai pour le tournage de Spectre en 2015. Nous marcherons justement dans les rues ayant servies lors du tournage de la poursuite en tuk tuk à Tanger!


 

On se rend jusqu'au bord de mer par les petites rues et le bus nous attends en bas. Nous roulerons quelques kilomètres vers l'est, jusqu'à arriver à un point de vue en bord de falaise. Nous nous trouvons à être au point de convergence de l'océan Atlantique et de la mer Méditerranée, où les deux masses d'eau se rencontrent!



On verra nos premiers dromadaires dans ce coin là!!

On s'embarquent ensuite pour un segment de route un peu plus long, vers la chaine de montagnes des Rif et la "ville bleue" de Chefchaouen. La route est très belle même et on remarque des changement dans le paysage un peu même si nous ne sommes pas si haut encore. Chefchaouen et à 565 m d'altitude. Rien pour écrire à sa mère encore! On voit quelques champs d'oliviers. Ce n'est plus la saison par contre.

  

 


Une fois rendus, un guide local nous fais découvrir sa ville. Un peu comme dans quelques villages grecs, le bleu et le blanc dominent. Le guide expliquent que, malgré l'effort pour décorer leur porte, généralement, on ne peut pas trop dire si les gens qui habitent là ont beaucoup d'argent ou non. La manière dont son faites les habitations est que lorsque tu ouvres la porte, tu arrives devant un mur. Qui empêche de voir à l'intérieur. Mais à l'intérieur, c'est là que le niveau social pourra s'exprimer, sans offusquer les autres. Sans être pour autant des palais, il y a toujours une cour intérieure et, comme c'est fait en étages, il y a une mezzanine tout le tour qui laisse aller la lumière partout. Nous avons eu accès à l'une qui était très jolie. Elle sert en fait de chambre d'hôte maintenant. Assez belle ville en effet et assez propre pour le secteur qu'on a vu. Et la ville est bleue mais il y a beaucoup de champs vert autour. Principalement du cannabis! He he, yé!

 

 





On roule de nouveau un bout jusqu'au spot pour le diner. À peu près au milieu de nulle part, pas grand chose à voir à part quelques arbres fruitiers et une piscine de terrain de camping. Ce sera aussi pas mal la seule place du voyage où nous aurons eu un peu de pluie.

 


Le reste de la route est passablement sans histoire. Malgré les paysages de basses montagnes avec quelques lacs ici et là, on remarque surtout les innombrables sacs de plastic qui sont partout dans les champs. C'est encore pire dans ce coin là mais c'est la triste réalité pas mal partout au pays, le long des routes. Ils n'ont plus de sacs de plastic dans les commerces depuis 2019 mais c'est difficile à croire. Il est évident que la collecte des ordures n'est pas aussi organisée qu'ici et les vidanges laissées sur le bord du chemin ont le temps de se faire éventrer par les chats et chiens errants. Ce qui se mange ou se décompose est vite réglé mais le plastic reste et il se laisse porter par le vent! Ça m'a prit une couple de jours à en revenir!


Et notre chauffeur est toujours aussi efficace. Il trouve toujours de la place pour dépasser les véhicules plus lents, peut importe la forme et le chargement de celui-ci. Dans le vidéo, il dépasse un camion chargé de paille et je crois bien qu'il a dépassé l'auto aussi du même coup!


Arrivés à l'hôtel pas mal au moment où le buffet est prêt, on passe tout de même par la chambre un peu avant de manger. Beau coucher de soleil de la terrasse de la salle à manger.


Nous sortirons marcher un peu dans le coin après le repas. Et Valérie va se trouver des pâtisseries, les fameuses cornes de gazelles!

Sans être constamment ensemble, nous sommes souvent avec les 2 autres couples francophones. On s'entends pratiquement aussi bien que si nous étions amis de longue date. On espère qu'ils pensent la même chose ;-)


21/01: Fès

La journée d'aujourd'hui sera consacrée à la ville de Fès au complet. On recouche au même hôtel qu'hier ce soir mais quelle journée ce sera! On a vu du stock et du dépaysement comme jamais! Fès a déjà été la capitale du Maroc. Selon le roi en place et les époques, la capitale change de place! Mais c'est toujours considéré comme la capitale intellectuelle et religieuse du pays. Et on y trouve plusieurs universités dont la plus vieille au monde selon l'Unesco, et selon notre guide, qui l'a répété une couple de fois!

Le bus nous mène en premier lieu a la porte du palais royal de Fès. Mais encore mieux, en face de la bâtisse qui a tenu fait office de l'hôtel L'Atlantique de Tanger dans le dernier Indiana Jones! Ça dépend qui mais y'en a que ça rend émotif des affaires de même… J'avais juste la musique dans la tête après ça, en descendant la rue avec les poutres de bois en façades et les odeurs de cannes à sucres broyées à la main pour faire du jus de cannes. En fait, je sais pas si c'est ça que ça sentait mais au moins, c'était pas les vidanges! 



 




Et le bus nous reprends au bout de la marche pour le prochain stop.

C'est un espèce de centre de poterie qui, me dis je, est juste un stop pour nous faire acheter des cossins. En réalité, je vois ces fameux cossins d'un autre œil maintenant. De un, c'est une espère de coop qui aide ces gens à vivre au lieu de survivre. Et de voir ces gens là, bien concentrés, à faire de leurs mains des objets parfois banals comme un pichet en terre cuite, je me rends compte que j'ai raté ma vocation... Ben non pantoute toé!

C'est bien un art de peindre à la main les bols et les tasses que l'un confectionne avec son tour à poterie. Et que le suivant fait cuire dans le four une fois, 2 fois et tout la bazar. Mais la pièce de céramique utilisée pour faire les tables de patio en mosaïque, c'est aussi un projet en soit. Faire, peindre et cuire les tuiles, ensuite faire du stencil dessus pour avoir la forme que tu veux, passe ça ensuite à Ahmed dans le coin, assis par terre sur un coussin, avec son marteau et son ciseau qui te taille ça une fois en gros, une autre fois en détail et qui snif la poussière de céramique à la journée. CNESST, où es-tu?! Et on est en janvier à 15 degrés. Une autre réalité 43 l'été. Mais le fameux Ahmed, en voyant Valérie, il lui a glissé un de ses projets en douce, un petit cœur qui aurait normalement dû se retrouver sur une table ou une fontaine quelque part dans le monde.

 

 

Car dans l'autre pièce, les petits morceaux de céramique de 1 ou 2 centimètres, sont assemblées comme un casse-tête pour faire produit final, Mais ils sont assemblés la face colorée et le motif par en bas, sans que l'artisan voit le motif global au fur et à mesure. Une petite goute de colle et paf, la face sur le plancher. On coulera la résine par dessus après! Faut toujours ben qu'il se souvienne le dernier motif déposé... J'aime autant ma job finalement.

 

Nous y achèterons des chiffres en céramique pour faire le # de porte du chalet. On sort de là et il est 11h du matin je pense. 20 minutes plus tard, le bus fait un stop sur un promontoire qui nous donne une vue sur le prochain site (j'allais écrire zoo...) qu'on va visiter. La médina de Fes. Pis en voyant des chiens couchés sur le trottoir, le nez dans le cul de l'autre et des vidages l'autre bord du mur, on a pas idée ce qu'on va vivre ensuite.


 


Dépaysement avec un gros maudit D en majuscule pis qui clignote.


La Médina de Fes (Médina = vieille ville si vous vous souvenez) a été fondée en 789! Y manque pas de 1 devant le 7, ne-non, l'année avec juste 3 digits! C'est la plus vieille médina du monde. Ben oui, encore. Et c'est encore debout. Faut dire qu'à la largeur des rues, les murs ont même pas de place à tomber si ça leur tentaient... Le bus nous laisse à une entrée.


Un guide en avant et l'autre en arrière. Car des rues, il y en a 9000! C'est clair, si tu perds le groupe, ta meilleure chance, c'est de te faire adopter! Certaines des rues, il faut marcher l'un derrière l'autre. Pas mêlant, tu peux juste tomber sur le dos ou à pleine face, t'es déjà accoté à gauche et à droite! Mais je repensais aux pauvres gars qui ont dû faire le câblage lorsqu'un finfinot a inventé l'électricité! Et la plomberie... Et je parle pas des meubles pour se meubler. Ils devaient les faire sur place avant que Ikéa débarque!?

 

 

Et tout d'un coup, on arrive sur un boulevard de, quoi, 2 mètres de large? De la place pour mettre des étalages pis passer des mobylettes. Et pourquoi pas une charrette avec une demi tonne de tangerines! On a même vu un dromadaire. Mais, lui, il en menait pas large...
 
 

 

 



Nous arrivons un peu plus loin, dans un quartier de cuivre, où ils fabriquent toutes sortes d'ustensiles.

 

On a une petite visite dans un atelier de tisserand après le diner et on se dirige ensuite vers l'une des tanneries toujours actives, la tannerie Chouara. Mais la rue n'est pas plus large!


Nous le savions un peu d'avance mais à l'entrée, on nous donne un bouquet de menthe. Et n'allez pas croire que c'est pour manger ou pour le thé! Ça aurait pu aussi être des kleenex plein de vicks mais c'est pour se passer le bouquet sous le nez car on va être confronté à des odeurs stupéfiantes! On va bien sûr passer par les salles de montre des produits, sacs, vêtements, ceintures, etc en cuir. Mais en montant les étages, on arrive ensuite à la terrasse avec vu sur les bassins de trempage. Et c'est aussi là qu'on apprécie notre petit bouquet! Car les bassins de trempage sont en partie plein de marde! Marde de pigeons mais ça reste de la marde! La raison est que le guano de pigeons contient beaucoup d'ammoniac et c'est très efficace pour faire tomber les poils des peaux. Elles sont donc trempées, brassées et passées d'un bassin à l'autre. Avec des bassins de rinçage et des bassins de teinture. Sur les photos, ce sont les bassins blanc qui sont les plus odorant... Les tanneurs sont parfois debout direct dans le bassin. On a aussi droit à quelques explications et comparaison entre les cuirs, de vache, chèvre, dromadaire etc... Tout en se brassant la menthe sous le nez! Ça reste une visite très intéressante! Et on en ressort évidement avec un sac en peau de chèvre! Bèèè oui!

 
 




Nous sommes entrés dans le Medina vers 11:30 et on en ressort vers 16:30. Même si c'est l'une des journées les plus ensoleillée, on a pratiquement pas vu le soleil tout ce temps là, vu la hauteur et l'étroitesse des murs! Sur la photo, la rue d'où on sort se trouve à être entre les deux bâtisses... 

Direction l'hôtel en sortant de là.

Il y en a qui ne veulent pas payer le bus! Voyez-vous le gamin derrière le camion?

                                   

On fait un petit stop au Carrefour (épicerie) en route, question d'acheter de l'eau et quelques grignotage pour les lunchs du midi. Ce sera notre 2ième nuit au même hôtel et Ibrahim nous averti que le départ de demain sera très tôt. Beaucoup de route à faire et en bonne partie dans les chaines de montagnes du Moyen et Haut Atlas, donc, routes sinueuses.


Partie 2 ici... si vous en voulez plus!

Vous pouvez voir l'ensemble des photos ici.
Mais ça va peut-être vous vendre des punchs pour la suite...








10 commentaires:

  1. J'ai ben hâte de lire la suite :-)

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  2. J'ai lu avec attention votre beau voyage. C'est super bien décrit et tes photos sont belles. Le coucher de soleil est splendide. Bravo!

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  3. Bien cool de lire votre texte... nous sommes bien heureux d'avoir partagé plusieurs bons moments avec vous. Et vlan, avec ceci je revis notre voyage. Merci les amis. pp

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  4. Vraiment le
    fun de vous lire.
    Hâte de lire la suite 🫶

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  5. Merci de me faire revivre notre voyage qu'on a fait l'an passé. On a des photos qui sont pareilles aux vôtres. Ce fut un très beau voyage pour nous et comme je peux lire, vous avez adoré également. Ce n'était pas non plus un voyage qu'on s'attendait à faire, mais aucun regret. Merci encore pour nous avoir partagé tout ceci.

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